Client : Savencia Fromage & Dairy,
groupe alimentaire international

Pouvez-vous vous présenter ainsi que votre entreprise ?
Je m’appelle Valéry Réhel, je suis cadre dirigeant au sein du groupe Savencia Fromage & Dairy, groupe laitier familial présent dans le monde. Sa vocation est d’entreprendre pour bien nourrir l’homme, avec une démarche que l’on appelle « glocale » : une vision globale des marchés, et une application locale avec des marques locales telles que Caprice des Dieux en France, Medve en Hongrie, Dorothy’s aux États-Unis ou Lollipop en Chine. Pour ma part je m’occupe de la stratégie et de l’offre produit sur la catégorie dite « natural cheese », donc l’ensemble des pâtes molles et des pâtes pressées dans le groupe.

Dans quel contexte avez-vous souhaité faire appel à Laviso ?
Les approches avec Laviso, et en particulier avec Alain Souan que j’ai rencontré il y a plus de 20 ans en 1997, j’étais alors directeur d’un site industriel sur lequel nous avons assuré 70% de changements du portefeuille produits et process. Dans le cadre de ces mutations nous avons sollicité Alain Souan pour définir l’ensemble des outils afin de construire un vrai premier Schéma Directeur d’Usine (SDU). Ça c’était la première expérience.
La deuxième est beaucoup plus récente, c’était cette année en 2020. Dans le cadre d’une consolidation d’un certain nombre d’activités industrielles nous avons été amenés à construire des optimisations, cette fois non pas dans une logique de SDU mais de Schéma Directeur Industriel (SDI) puisque le périmètre concernait plus de 10 sites industriels majeurs sur lesquels nous avons défini, grâce aux outils qui existaient – ou pas – selon les sites, une première approche d’harmonisation des bases capacitaires pour identifier toutes les synergies possibles à mettre en œuvre sur l’ensemble de ces sites.

En quoi l’accompagnement de Laviso vous aide à avancer dans vos projets ?
Pour moi, Laviso c’est une deuxième tête et un troisième bras. L’approche est pragmatique, elle est pratico-pratique comme aime à le dire Alain Souan et elle apporte un bon équilibre entre la formation et l’action.

Pouvez-vous citer 3 bénéfices concrets que vous avez retirés de cet accompagnement ?
Le premier bénéfice c’est de donner du sens à l’action du terrain. L’approche que l’on mène avec Alain Souan correspond à une vue d’hélicoptère : on collecte des données sur le terrain, on monte et on définit la stratégie donc la vision qu’on peut avoir sur une usine ou un ensemble d’usines, et ensuite derrière, cela redonne du sens à l’application pratique de nos actions. En gros, quand on aura défini là où on veut aller, on redescendra sur le terrain avec des outils que les équipes auront identifié au début, et cela va donner du sens. Ce jeu d’hélicoptère permanent est pour moi le premier bénéfice parce que cela donne du sens aux actions que l’on demande de mener sur le terrain avec la vision que l’on a derrière.
Le deuxième bénéfice c’est le fait d’éviter des erreurs. On identifie le champ des possibles sans se mettre aucune frontière. Alain Souan contribue à casser les murs – qu’ils soient physiques ou virtuels – que l’on pourrait éventuellement avoir dans la tête.
Le troisième bénéfice est la résultante des deux premiers, c’est la cohérence globale. Et parce qu’on ne fait pas que dans la philanthropie, c’est aussi un sens de l’économie. Quand on évite des erreurs, quand on met en place des outils qui permettent aux équipes de parler de manière homogène et unique, l’arbre de décision est plus simple et plus rapide. On évite des erreurs, on gagne du temps… à la fin on gagne de l’argent.

Est-ce que vous souhaitez rajouter quelque chose ?
Oui, une citation de Marc Lévy qui a dit « rien n’est impossible, et seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables ». Je pense qu’Alain Souan nous aide à ouvrir les limites de nos esprits, et pour le côtoyer depuis plus de 20 ans c’est un enrichissement pour chacun d’entre nous.